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Posté : 07 févr. 2012 13:55
par Pierre-Yves
Noushka a écrit : Et pour la photo, je les déplace délicatement dans un endroit plus dégagé...
Comment? :smt116

Posté : 10 févr. 2012 10:00
par Noushka
Ben..... avec ma main en la tenant par au-dessus de sa queue et en ayant soin que sa tête reste en contact avec le sol, sachant que sa colonne vertébrale étant bien plus rigide que celles des couleuvres, elle a plus de mal à se retourner....!!
Je défend à qui que ce soit de rire!!! :evil: :-D :smt040

Posté : 10 févr. 2012 10:35
par Pierre-Yves
je ne ris pas, je te conseille simplement d'être très prudente, de ne pas croire qu'une vipère ne peut pas du tout se retourner car les jeunes le peuvent et c'est assez individuel comme potentiel, et ensuite la zinnikeri a un venin beaucoup plus puissant que l'aspis aspis avec des composantes neurotoxiques.

Posté : 11 févr. 2012 10:48
par Noushka
Oui, je sais!
Je vais mettre des gants dorénavant!

Posté : 11 févr. 2012 19:10
par Pierre-Yves
des gants de soudeur avec un indice de perforation élevé... le mieux est de les prendre à l'affut mais pas toujours facile.

Posté : 15 févr. 2012 09:21
par Noushka
Merci pour le tuyau... Heu, je veux dire les gants!!!
Mais je ne sais pas s'il y aura ma taille! :-D

Posté : 15 juil. 2012 13:59
par Neopilina
Bonjour,

Après judicieux conseils de l'administration, je peux donner en MP une localisation de V.a. zinnikeri assez stupéfiante : même les chasseurs ont convenus qu'il était préférable d'en faire une réserve biologique ! :-D
Je m'y suis fais mordre en 1987 à 1700m d'altitude, alors que j'étais là pour faire une étude sur la stratégie des poules meneuses de grand tétras. Quand je suis arrivé sur place, un refuge de l'O.N.F. prêté pour l'occasion, rapidement j'ai cru que je rêvais. A partir de la limite supérieure de le forêt, versant Sud bien évidemment du massif, elles pullulent.
J'ai une méthode un peu similaire à celle de Noushka, encore mise en oeuvre sur une aspis de mon département (Limite Nord de répartition.) mardi dernier. Avec une trique très fine je maintiens la tête à l'écart et attrape dés que possible la fin du corps, le cloaque, la tenir que par la queue peut occasionner des dommages. Direction un bocal si j'effectue la prise de note sur place ou en main si espèce non-venimeuse (Le plus fréquent chez nous donc.) ou alors pour les grandes occasions, direction un grand saut de crépis ultra-propre au couvercle ajouré pour la respiration que j'ai dans mon véhicule et retour maison. Là le spécimen est déposé dans un aquarium, ausculté, photographié, etc. Le lendemain matin il est relâché sur le lieu exact de capture.

Posté : 15 juil. 2012 15:15
par Pierre-Yves
alors je suis tout ouïe avec mes plus grand remerciements !!!