Vipère de Zinnikeri
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- Pierre-Yves
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je ne ris pas, je te conseille simplement d'être très prudente, de ne pas croire qu'une vipère ne peut pas du tout se retourner car les jeunes le peuvent et c'est assez individuel comme potentiel, et ensuite la zinnikeri a un venin beaucoup plus puissant que l'aspis aspis avec des composantes neurotoxiques.
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- Pierre-Yves
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Bonjour,
Après judicieux conseils de l'administration, je peux donner en MP une localisation de V.a. zinnikeri assez stupéfiante : même les chasseurs ont convenus qu'il était préférable d'en faire une réserve biologique !
Je m'y suis fais mordre en 1987 à 1700m d'altitude, alors que j'étais là pour faire une étude sur la stratégie des poules meneuses de grand tétras. Quand je suis arrivé sur place, un refuge de l'O.N.F. prêté pour l'occasion, rapidement j'ai cru que je rêvais. A partir de la limite supérieure de le forêt, versant Sud bien évidemment du massif, elles pullulent.
J'ai une méthode un peu similaire à celle de Noushka, encore mise en oeuvre sur une aspis de mon département (Limite Nord de répartition.) mardi dernier. Avec une trique très fine je maintiens la tête à l'écart et attrape dés que possible la fin du corps, le cloaque, la tenir que par la queue peut occasionner des dommages. Direction un bocal si j'effectue la prise de note sur place ou en main si espèce non-venimeuse (Le plus fréquent chez nous donc.) ou alors pour les grandes occasions, direction un grand saut de crépis ultra-propre au couvercle ajouré pour la respiration que j'ai dans mon véhicule et retour maison. Là le spécimen est déposé dans un aquarium, ausculté, photographié, etc. Le lendemain matin il est relâché sur le lieu exact de capture.
Après judicieux conseils de l'administration, je peux donner en MP une localisation de V.a. zinnikeri assez stupéfiante : même les chasseurs ont convenus qu'il était préférable d'en faire une réserve biologique !
Je m'y suis fais mordre en 1987 à 1700m d'altitude, alors que j'étais là pour faire une étude sur la stratégie des poules meneuses de grand tétras. Quand je suis arrivé sur place, un refuge de l'O.N.F. prêté pour l'occasion, rapidement j'ai cru que je rêvais. A partir de la limite supérieure de le forêt, versant Sud bien évidemment du massif, elles pullulent.
J'ai une méthode un peu similaire à celle de Noushka, encore mise en oeuvre sur une aspis de mon département (Limite Nord de répartition.) mardi dernier. Avec une trique très fine je maintiens la tête à l'écart et attrape dés que possible la fin du corps, le cloaque, la tenir que par la queue peut occasionner des dommages. Direction un bocal si j'effectue la prise de note sur place ou en main si espèce non-venimeuse (Le plus fréquent chez nous donc.) ou alors pour les grandes occasions, direction un grand saut de crépis ultra-propre au couvercle ajouré pour la respiration que j'ai dans mon véhicule et retour maison. Là le spécimen est déposé dans un aquarium, ausculté, photographié, etc. Le lendemain matin il est relâché sur le lieu exact de capture.
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- Pierre-Yves
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Sur le présent sujet, j'ai vu des V.a.zinnikeri (?), de St Marcet, commune toute proche de Bagnières de Luchon, puis de St Gaudens, située beaucoup plus bas.
Selon vous, sur quels critères peut-on s'appuyer pour dire qu'on est en présence de V.a.z. ? Et quelle aire de répartition lui accorde t-on? Merci.
Selon vous, sur quels critères peut-on s'appuyer pour dire qu'on est en présence de V.a.z. ? Et quelle aire de répartition lui accorde t-on? Merci.