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Posté : 14 mai 2012 20:23
par Pierre-Yves
Eric a écrit :En Croatie Saturnia pavonia est remplacé par S. pavoniella, ce n'est pas bien clair pour moi entre ces 2 espèces et ses hybrides, mais comme c'est loin de la zone de contact, il ne devrait pas y avoir de doutes
merci, Frank me l'avais dit mais je n'ai pas cherché plus loin, je corrige donc.
Noushka a écrit :
Que c'est beau!
Hélas je peux pas commenter chacune des photos mais elles le méritent amplement!
A part leur superbe qualité, la profondeur de champs me frappe: quel objectif utilises-tu... un 50mm?
Tes serpents sont fabuleux, les V.ammodytes et la berus en particiculier - quoique c'est bien la première fois que je vois les couleuvres à 4 lignes- mais un grand bravo pour les Saturnia pavonia, mâle et femelle!
J'aurais bien aimé faire partie du groupe, quelle adrénaline!
Oui je n'utilise qu'un 50 mm macro
Zuiko de chez Olympus, ouverture 1:2-0
Posté : 14 mai 2012 20:54
par Steph54
Bonjour,
eh bien, de superbes rencontres, vous avez fait fort, bravo !!!
La grenouille agile a un drôle de look, presque comme une grenouille des champs, mais elle a bien un gros tympan.
a+
Stephane
Posté : 14 mai 2012 21:05
par Noushka
Ah Ok!
Ben mon Nikon 18/55mm doit faire l'affaire! LOL!
je ne l'utise pas encore beaucoup, faudra que je m'y mette!
Posté : 14 mai 2012 21:09
par Pierre-Yves
nan c'est un zoom pas un objectif macro
Posté : 14 mai 2012 21:40
par Noushka
Faudra qu'il fasse l'affaire quand même!!
Posté : 14 mai 2012 23:24
par zim
Beau voyage et très belles photos.
Vous vous êtes vraiment amusé.
Mais pour les lieux, il y avait de endroit particulier ou bine toutes les bestioles sont si "facile" à trouver?
Posté : 14 mai 2012 23:24
par zim
Beau voyage et très belles photos.
Vous vous êtes vraiment amusé.
Mais pour les lieux, il y avait de endroit particulier ou bine toutes les bestioles sont si "facile" à trouver?
Posté : 14 mai 2012 23:39
par Pierre-Yves
dans les Balkans, il y a beaucoup de reptiles car c'est sauvage, vaste et peu habité, sauf au Monténégro. Il faut se fier à ses connaissances de terrain, les biotopes propices, la facilité d'accès (souvent très montagneux et karstique donc peu adapté à la marche sans te casser les chevilles) et il reste les points GPS des collègues de confiance qui sont passés avant. Après on a de la chance ou pas, on tombe bien avec la météo et on choisi la bonne saison, le bon mois.