Posté : 21 oct. 2015 21:23
Je n'ai pas de quoi ouvrir un sujet. Ma source, c'est comme tout le monde : la littérature spécialisée. De temps en temps, on a tous vécu ça je crois, le stress peut générer la régurgitation d'une proie. Et donc, quand ça arrive avec la coronelle lisse, on peut constater que la proie est un vipéreau aspic ( A titre personnel ou encore dans la littérature, je n'ai pas le souvenir de cohabitation entre coronelle lisse et vipère péliade.).
Je suppose que Pierre-Yves et peut être d'autres se souviennent d'un cliché un peu polémique que j'avais posté : une coronelle lisse de 70 cms et une vipère aspic de 50 cms ( Capturées au même endroit, photographiées et relâchées in situ. ) dans un très gros seau à crépis ( Très soigneusement nettoyé. ). L'intérêt du cliché est de montrer le différentiel de silhouette entre couleuvres et vipères, et ça fonctionne bien mieux qu'un discours abstrait pour les néophytes, je m'en sers souvent à cette fin pédagogique.
Et bien pendant les quelques minutes où ces deux animaux sont restés dans le seau, la coronelle lisse a plusieurs fois mordu la vipère, et la seule réaction de celle-ci a été de se blottir contre la paroi, d'éviter la coronelle : elle a conservé son instinct de juvénile qui lui dicte d'éviter la coronelle, d'en avoir peur. Cette vipère avec sa tête trois fois plus grosse avait peur !
Je suppose que Pierre-Yves et peut être d'autres se souviennent d'un cliché un peu polémique que j'avais posté : une coronelle lisse de 70 cms et une vipère aspic de 50 cms ( Capturées au même endroit, photographiées et relâchées in situ. ) dans un très gros seau à crépis ( Très soigneusement nettoyé. ). L'intérêt du cliché est de montrer le différentiel de silhouette entre couleuvres et vipères, et ça fonctionne bien mieux qu'un discours abstrait pour les néophytes, je m'en sers souvent à cette fin pédagogique.
Et bien pendant les quelques minutes où ces deux animaux sont restés dans le seau, la coronelle lisse a plusieurs fois mordu la vipère, et la seule réaction de celle-ci a été de se blottir contre la paroi, d'éviter la coronelle : elle a conservé son instinct de juvénile qui lui dicte d'éviter la coronelle, d'en avoir peur. Cette vipère avec sa tête trois fois plus grosse avait peur !